Quelques environnements humains formidables dans lesquels j’ai eu la chance d’évoluer, de grandir, de prendre du plaisir, de vivre des émotions incroyables, et de les partager…
« Le jeu, c’est tout ce qu’on fait sans y être obligé. » (Mark Twain)
Sans y être obligé ? Je suis d’entrée contraint d’exclure de cette page un terrain qui est à la fois un plaisir, un engagement et …une obligation : mon univers professionnel. Mais si ça vous intéresse, je parle de mon métier de professeur des écoles sur un site dédié à ma pratique : Professeur Chicraôte – ma classe coopérative
Je pourrais alors décréter que mon terrain de jeux préféré reste… le monde, mais j’évoque déjà par ailleurs mes aventures et mes pérégrinations de voyageur sur la page des chemins de traverse que j’ai empruntés.
Que reste-t-il alors ? Quelques terrains de jeux merveilleux sur lesquels j’ai vécu (ou je vis encore !) des moments privilégiés… Des terrains sur lesquels j’ai grandi (physiquement, émotionnellement), j’ai pris confiance, je me suis éclaté, j’ai trouvé des amis… avec lesquels j’ai partagé des heures intenses et vécu quelques moments de grâce.
Terrain de jeu #1 : BASKET [ …jusqu’en 2007 ]
Trente ans d’une pratique sportive intensive ! Dans le village de mon enfance, la pratique du basket fut à la fois un héritage familial, une école de vie, une découverte du monde associatif, et un catalyseur d’intenses émotions.
Pages associées :
ESSJT | ASA | SOPCC | ASPTT… | Old Star Game
Terrain de jeu #2 : MARSEILLE-CASSIS [ 2006 – 2013 ]
J’ai eu la chance de participer huit années consécutives à la classique internationale Marseille-Cassis, une mythique course à pied sur route qui réunit chaque année plus de 15.000 coureurs sur un parcours sélectif de 20 kilomètres qui nous emmène du stade Vélodrome jusqu’au port de Cassis.
Le plus important n’était pas de courir, encore moins de battre des records, mais d’être là, de participer pour une bonne cause, de “faire famille” et de se retrouver entre amis, avant, pendant et après la course…
Toutes les éditions :
2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013
Terrain de jeu #3 : IMPRO [ depuis 2012 ]
Après une première petite expérience d’un cours de théâtre “niveau CM1” en 2011 avec une professeur d’art dramatique (ou plutôt une dramatique professeur d’art…), je découvre – enfin – l’impro à l’occasion d’un festival de théâtre d’improvisation qui se joue à deux pas de chez moi. Je prends contact avec la troupe marseillaise qui l’organise, et ma vie d’improvisateur amateur débute vraiment en septembre 2012, avec Les Improsteurs. Elle se poursuit depuis avril 2018 au sein d’un véritable collectif que j’ai contribué à créer : Le Bruit Qui Court.
Terrain de jeu #4 : INTERNET [ depuis 1998 ]
Première connexion au réseau en 1998 (le web n’existait alors que depuis 8 ans !), premier site créé en 2000 (celui-là même) : depuis, beaucoup, beaucoup d’heures passées sur la toile, et plusieurs sites mis en ligne pour partager des projets personnels ou faire connaître des projets associatifs…
- Y’a rien là ?! Le site de Cy-real
- Manon et moi – Une histoire d’amour
- Sama Africa – Carnet(s) de voyage(s) en Afrique de l’Ouest
- Professeur Chicraôte – Ma classe coopérative
- Jángalekat – Pour un coup de pouce à l’école sénégalaise
- Les Improsteurs – Impro “Made in Marseille”
- Le Bruit Qui Court – collectif d’improvisation théâtrale à Marseille
Je ne suis pas né avec Internet, mais j’ai pu accéder au réseau dès que j’ai commencé à utiliser des ordinateurs (à titre personnel ou professionnel), et je peux dire sans exagérer qu’Internet a “chambouleversé” ma vie. Bien sûr, la toile a incroyablement changé par rapport à ce qu’elle était au début des années 2000. Mon activité en ligne a évolué également : elle reste trop souvent chronophage, stérile et aliénante, mais elle est souvent aussi source de créativité, passionnante, inspirante et incroyablement enrichissante !
La vraie richesse
Un point commun à tous ces terrains de jeux ? Même en leur consacrant du temps (des heures, des jours, parfois des semaines entières) et/ou de l’argent, je n’ai jamais cherché à gagner le moindre centime à titre personnel. Un objectif parfaitement réussi
Le moteur est toujours ailleurs, dans le plaisir de la rencontre, du partage, du jeu, de la création ou de l’accomplissement de soi. Dans la passion, dans la vie quoi !